Elles en parlaient presque comme elles auraient parlé de Sharon Stone ou de Hilary Clinton.
Elles restaient dans leurs bouches étonnamment fraîches et belles.Certains affirmaient qu'elles avaient toutes les deux inspiré une autre indomptable:la Kahina,cette princesse berbère, la reine des Aurès, la Prophétesse. Une Berbère juive, dit Ibn Khaldoun, une chrétienne selon d'autres, qui lutta jusqu'à la mort contre les envahisseurs arabes venus d'Egypte.D'autres, qui avaient remonté avec moi le labyrinthe de l'histoire en suivant ces femmes, prétendaient qu'elles menaient directement à Bourguiba, ce premier président qui avait promptement dévoilé la femme tunisienne, sans s'occuper des bigots, après l'indépendance en 1956"
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